Cela ressemble en effet à un sacré retour du karma, cette pandémie. D’habitude on a seulement un café qu’on se renverse dessus, un téléphone cassé, une cheville à la limite, un bus qui nous passe sous le nez, un Euro de foot –injustement- perdu, si on l’a vraiment cherché.
Par Amalthée Dupuy-Lacueille